Fin Avril, j’ai eu la chance de participer à un Blogtrip sur le Mont Saint Michel avec La Mère Poulard et l’Office du Tourisme du Mont Saint Michel, aux côtés d’autres influenceurs. Une expérience unique que je souhaitais partager avec vous. Au regard des nombreux messages reçus via mes Stories Instagram Snapchat, vous étiez impatients de lire cet article!
Après plusieurs articles sur mon blogtrip à Cherbourg, (soit, la visite du musée des Parapluies de Cherbourg, celle de la Cité de la mer et de l’exposition Des Objets du Titanic nous racontent, et celle du château des Ravalet et de ses pièces secrètes) je boucle ainsi mes posts sur cette ville du Cotentin. J’espère que cette série vous a plu et vous donnera envie de vous faire un petit week-end à Cherbourg.
En plus des dernières visites, je partage avec vous les lieux où nous avons déjeuner et dîner, ainsi que l’hôtel où nous avons séjourné.
Vous ne connaissez peut-être pas le Château des Ravalet, mais vous avez certainement entendu parler de l’histoire de Marguerite et Julien. Valérie Donzelli a en effet présenté à Cannes un film racontant l’histoire dramatique et incestueuse de ces deux enfants du Cotentin, et a tourné dans l’enceinte du château.
Dernièrement, j’ai eu la chance de pouvoir visiter les pièces non accessibles au public de ce bel édifice.
L’exposition Titanic à la Cité de la Mer de Cherbourg
Cela faisait un moment que je ne vous avais pas fait de post « Une expo un resto ». Mon passage à la Cité de la Mer pour la nouvelle exposition « Des objets du Titanic nous racontent » me donne l’occasion de le faire.
Si vous avez suivi mes aventures sur Instagram, vous savez peut-être que j’ai passé il y a peu un week-end complet à Cherbourg en compagnie d’autres blogueuses, et la visite de la Cité de la mer était au programme.
Si vous évoquez le nom de Cherbourg avec un Japonais, un Anglais ou même un Français n’ayant jamais mis les pieds dans la ville, il pensera immédiatement au parapluie.
Le film a d’ailleurs largement contribué à l’image d’un Cherbourg gris et pluvieux, dont, heureusement, les images étaient réchauffées par la garde robe sixties et pastel d’une Catherine Deneuve tourmentée.