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Culture

3 In Culture/ J'ai testé pour vous.../ Une expo un resto

Une expo, un restau!

helmut newton expo paris 2012

C’est reparti pour une Expo et un restau!

helmut newton expo paris 2012

L’exposition, c’est bien sur celle consacrée à Helmut Newton au Grand Palais, que vous pouvez découvrir jusqu’au 17 Juin 2012. L’exposition a été prolongée jusqu’au 30 Juillet!

Je vous en ai déjà vaguement parlé ici, mais je vous conseille vivement d’aller y faire un tour, rien que pour découvrir les  photographies les moins célèbres de l’artiste.

A quelques stations de métro de là, la Toulousaine m’a fait découvrir le Café Lacombe, dans lequel nous sommes allées dîner après avoir vu l’expo.

Pour une douzaine d’euros nous avons choisi une salade Caesar et un verre de vin. Et comme l’happy hour dure jusqu’à 21h, nous avons terminé par un cocktail maison au champagne et un Mojito à moitié prix.
Depuis, j’y suis retournée une seconde fois. Il faut dire que j’ai apprécié le quartier qui me fait penser à une sorte de Caen miniature: Même enseignes, même atmosphère.
Même si la clientèle du quartier est légèrement plus bobo.

Par ailleurs, je reviendrai bientôt vers vous pour l’expo Louis Vuitton Marc Jacobs à laquelle je me suis rendue il y’a 2 semaines! Vous pouvez la voir jusqu’au 16 Septembre!

Exposition Helmut Newton au Grand Palais,
Du 24 mars au  30 juillet 2012
Tarif : 8 à 11 euros
Avenue Winston-Churchill
75008 Paris
Metro: Champs-Elysées-Clémenceau

Café Lacombe,
55 Rue des Acacias
75017 Paris
Metro: Ternes

5 In Bons plans Brèves et Petits plaisirs/ Culture

Petits plaisirs d’Avril

Pas mal de promenades dans Paris ce mois-ci.

J’ai commencé à apprivoiser Instagram
Retrouvez moi sous « lebeautemps »
(10 ans après tout le monde, mais c’est pas grave…. Avec un peu de chance je m’inscrirai sur Pinterest d’ici 2015…) 

Visite de l’expo Helmut Newton au Grand Palais
A voir absolument!

Même si je suis un peu déçue de ne pas avoir vu la célèbre photo de la Bunny  Girl (la dernière ci-dessous), qui manquait à l’appel. Une de mes préférées du photographe.
Quelques-une de mes favorites: 

J’ai gagné la saison 4 de Gossip Girl grace au concours de Dameskarlette! Youpiiii!

Un peu de lecture pour mes longs trajets en train ou en métro, avec Comment je n’ai pas rencontré Britney Spears d’Elise Costa, (dont vous pouvez suivre le blog elixie.org), et Les Pintades à Madrid pour compléter ma collection (le site des Pintades ici)

Le documentaire Métronome de France 5, dont j’ai suivi chaque épisode!
J’ai très envie de m’acheter le livre, maintenant!

Des cookies Millie’s cookies

Le verre à vin Napoléon de mon père

Un petit air de Central park au parc des Buttes Chaumont

Kenza était dans le 20 Minutes dernièrement.
Edition de Paris comme Edition France. 

Assez surprenant à voir au Petit Déj’ quand on a surtout l’habitude de la suivre sur internet! 

Je ne prends jamais de petits déjeuner, sauf le weekend.
Et c’est une des choses que je préfère: Petit déjeuner au lit, avec l’homme d’un côté, et Papyrus de l’autre, en regardant les infos toutes chaudes sur i-télé.

Et puis, être reçue comme une princesse jusque chez mes parents avec le thé anglais que je leur ai ramené de mon séjour et un croissant, ça change des matins difficiles de mon adolescence, quand j’habitais encore chez eux et devais me dépêcher pour ne pas être en retard au collège.

Et puis, bien sur, mon escapade londonienne d’Avril!

5 In Culture/ J'ai testé pour vous...

Un Jap’ et du Théâtre!

Vous vous souvenez de cet article où je vous disais que le mardi semblait bien parti pour être le jour parfait de la semaine pour se cultiver avant de filer diner?

Nous avons remis le couvert (ou plutôt les baguettes! Ok, je sors…) avec un Jap’ et du Théâtre!
Dîner au Kadoya, spécialiste de Ramen, ces célèbres nouilles japonaises, avant d’assister à la représentation d’une pièce que je voulais absolument voir: Les Liaisons Dangereuses, adaptées par John Malkovich au Théâtre de l’Atelier.

Cette pièce, je l’ai toujours adorée. Sous toutes ses formes. Le texte de Choderlos de Laclos, tout d’abord. Et puis les adaptations. Celle de Stephen Frears, où Malkovich jouait Valmont, et celle de Roger Kumble.
Alors pour que la boucle soit bouclée, il fallait que je vois l’interprétation de ce texte tellement moderne par celui qui a jadis enfilé le costume de Valmont.

La mise en scène est moderne et épurée, ce qui met en valeur le texte original. Et le choix des 9 comédiens encore inconnus, (sélectionnés parmi près de 300 comédiens issus des Conservatoires et Cours d’Art Dramatique) est fantastique.

Je ne vous raconterai pas la pièce, je vous conseille plutôt d’aller la voir. Et puis, d’autres sont bien meilleures critiques que je ne le suis.
Mais c’est incontournable pour tous les passionnés des belles histoires cruelles et  irrévérencieuses.

Ensuite, direction le Kadoya, avec la Toulousaine et la Lyonnaise, sur les conseils de la première. Passionnée de voyages et particulièrement de la culture asiatique, elle nous a gentiment appris quelques rudiments de bases (ou comment « ne pas planter ses baguettes dans ses nouilles pour répondre à son téléphone portable, parce que non, ça ne se fait pas! On plante les baguettes dans son plat lors des veillées funéraires« !).

Un petit restaurant sobre et tranquille, que je conseille aux amateurs de Nouilles Japonaises.

Cadeau Bonus, mon passage préféré du livre:

 « Le sort de Madame de Merteuil paraît enfin rempli, ma chère et digne amie, et il est tel que ses plus grands ennemis sont partagés entre l’indignation qu’elle mérite, et la pitié qu’elle inspire. J’avais bien raison de dire que ce serait peut-être un bonheur pour elle de mourir de sa petite vérole. Elle en est revenue, il est vrai, mais affreusement défigurée ; et elle y a particulièrement perdu un œil. Vous jugez bien que je ne l’ai pas revue : mais on m’a dit qu’elle était vraiment hideuse.
Le Marquis de ***, qui ne perd pas l’occasion de dire une méchanceté, disait hier, en parlant d’elle, que la maladie l’avait retournée, et qu’à présent son âme était sur sa figure. Malheureusement tout le monde trouva que l’expression était juste. »

Kadoya,
28, rue St Anne,
75001 Paris

Les Liaisons Dangereuses
Théâtre de l’Atelier,
1 Place Charles Dullin,
75018, Paris

5 In Culture/ J'ai testé pour vous...

Une Nuit à Paris à l’Experimental Cocktail Club

lina doran paris

Il faut que je vous parle de Lina Doran.

Je l’ai rencontrée il y’a bien longtemps lorsque nous étions encore à l’Université.

Aujourd’hui, Lina chante et se produit sur quelques scènes Parisiennes.

L’Experimental Cocktail Club : Un speakeasy à Paris

C’est autour d’un verre à l’Experimental Cocktail Club que je lui ai donné rendez-vous, un tout petit bar bien caché derrière une minuscule plaque en métal de la rue St Sauveur à Paris, afin de faire le point sur ces dernières années.

Ce bar caché est un speakeasy, c’est à dire, un lieu inspiré des bars clandestins américains qui voyaient le jour à l’époque de la prohibition.
Trouver le lieu n’est déjà pas une mince affaire, puisque de blind tiger (l’autre nom du speakeasy!) se camoufle sous de lourds rideaux de velours. Pour y entrer, vous devrez montrer patte blanche.

Experimental cocktail club

L’inventaire d’une année à Londres, de son voyage à New-York et de son amour pour Paris.

Nous avons fini sur le tard au Capitole, rue Étienne Marcel, à parler projets et avenir.

Mais ce que je voulais surtout partager avec vous, c’est sa si jolie voix…

lina doran paris

Experimental Cocktail Club
37 rue St Sauveur,75002, Paris
Comptez 12 à 13€ pour un cocktail.

7 In Culture/ J'ai testé pour vous...

Culture et Confiture

La culture c’est comme la confiture. Aujourd’hui, je ne vais pas m’étaler sur le sujet, juste vous prouver que lorsqu’on peut mélanger un thé, un burger et un musée, le tout est bien meilleur!

Une visite + un resto, voilà ce qui est en passe de devenir une institution parisienne du Mardi soir avec la Lyonnaise et la Toulousaine!

Pour se mettre en jambes, un Bubble Tea chez Tea By Thé.
Pas beaucoup de photos à vous montrer puisque j’ai été mal accueillie par un « Non madame, les photos sont interdites! » très sec. Alors déjà je ne suis pas une « Madame » (non, mais!), et on dit d’abord « bonjour » (Si si, dans la vraie vie (c’est à dire ailleurs qu’à Paris. Oui: En Proviiiiince) les gens disent cela! Ça leur arrive régulièrement même. Tous les jours en fait).
Heureusement, l’autre serveur était agréable, et le Bubble Tea, lui, était délicieux. Je l’ai pris chaud c’est pourquoi on ne voit pas les jolies boules noires au gout de Chewin gum. Mais je compte bien tester la version froide. Avec un « Bonjour ». S’il vous plait.

Puis, Le Louvres. Les mardis, en Nocturne (jusque 21h45), la foule est beaucoup moins dense. Et surtout, l’entrée y est gratuite ces soirs là pour les moins de 26 ans!
Pas eu le temps de vraiment voir La Joconde, la pièce était remplie d’asiatiques mitraillant dans tous les sens. Nous avons donc fui le lieu pour préférer un moment de calme auprès d’un groupe d’étudiants en Arts et de leur professeur très… Intéressant!


Puis, un tour sur le Pont des Arts, célèbre pour les cadenas qui y sont accrochés. On y voit la Tour Eiffel, au loin.

Nous cherchions un Bar à Tapas, mais tous étaient bondés. Nous avons donc fini au Happy Days Diner de Châtelet.

Même si le tout était plutôt concentré sur la Rive droite, je ne pouvai pas vous montrer le Pont des Arts sans cette chanson…

Et nous sommes opiniâtres à ne pas mourir
A traîner sur les berges venez voir
On dirait Jane et Serge sur le pont des Arts
Rive Gauche à Paris

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=AhYRIbGVNl0&feature=youtu.be]

Tea By Thé,
2 Place Palais Royal
75001 Paris

Happy Days Diner Châtelet,
25 Rue de la Reynie
75001 Paris

2 In Culture

Post-it war, post art?

Si tu ne vas pas à La Défense, La Défense viendra à toi.
Pendant que j’étais toujours en arrêt, cet après-midi, l’homme a donc décidé de se lancer dans le post-it art, la guerre lancée depuis cet été dans les buildings du centre des affaires de Paris.
Ici, une petite photo de ses fenêtres, pas mal pour un début, non?

Si le post-it a longtemps été synonyme de déprime (page colorée  pour numéros à rappeler d’urgence, listes de courses, et autres supports de ruptures amoureuses) (qui ne se souvient pas de Carrie, larguée par Berger via un post it dans Sex&the City?), aujourd’hui, il serait plutôt ludique.

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=wgynSHZbwhM]

La Post it War, ou l’art de colorer un quotidien un peu gris en pixellisant les buildings?
Fini les artistes incompris, et si le post modern art pouvait être lancé par des hommes d’affaires en costumes faisant joujou avec des feuillets repositionnables entre deux gros clients?

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=8js6WqJF4QE]

Le site dédié: Post-it War

7 In Culture/ Revue de soirées

Mockery Box

Un groupe Caennais sympathique que je vous encourage à écouter: Mockery Box.
Une soirée en compagnie de F. et M. (bande FM ha ha… ok, je sors…) à l‘Ubu, rue Arcisse de Caumont à Caen, pour un concert intimiste.
Je vous aurais bien ajouté des vidéos, mais Dailymotion boude, je tenterai donc une autre fois!

 

11 In Culture

Sempé à New York

Je ne vous avez encore jamais présenté d’exposition, et, lorsque la possibilité s’est présentée de voir l’expo « Sempé à New York« , à l’espace Jean Legendre de Compiègne, j’ai  sauté sur l’occasion.
Vous connaissez déjà mes envies de New-York (oui oui, jamais mis les pieds à part en rêves), et vous connaissez tous Sempé, plus ou moins bien.

Cette exposition, conçue et réalisée par la Galerie Martine Grossieaux, à Paris, permet aux visiteurs d’admirer plus de 80 dessins originaux de Sempé, tous portant sur la célèbre Big Apple City, et plusieurs couvertures du New Yorker réalisées par l’artiste.

Si Sempé est connu en France, c’est principalement, pour les aventures du « Petit Nicolas« , sa collaboration avec René Goscinny, et  pour ses dessins en noir&blanc.
Cette exposition, elle, rassemble des dessins plus colorés, où les gags se font plus rares, mais où la poésie et la profusion de détails sont toujours présents.
Aux lignes bleues et grises de Paris, s’opposent ici les couleurs rouges et vertes des maisons ou jaunes des taxi, comme si, ayant posé ses pieds sur le sol américain, Sempé avait renoué avec l’aquarelle et les pastels.

Dessins inédits, esquisses jamais terminées, planches de Par Avion, couvertures du New Yorker ultra médiatisées, … L’exposition « Sempé à New York » retrace une face de l’artiste peu connue de ce côté de l’Atlantique, que je vous incite à découvrir par vous mêmes.

Pour ceux qui le souhaite, le livre Sempé à New York, qui présente plusieurs dessins de l’artiste, est également vendu sur place.

Ce que j’ai le plus apprécié réside dans les détails multiples à rechercher sur chaque pièce exposée. Détails qui nous poussent à inventer l’histoire, à imaginer les raisons qui entraînent chaque individu dessiné à se trouver tout simplement là. Dans un genre différent, j’ai aimé les lignes graphiques, en Noir&Blanc, dessins à l’architecture qui, bien qu’imparfaite (le trait déborde dans le vide), dégage une énergie et une profondeur asses particulière.
Voilà mes favoris:

 

Exposition Sempé à New York,
Espace Jean Legendre,
Rue du Général Koenig
60200 Compiègne
tél : 03.44.92.76.76

Du 15 janvier au 15 mars 2011
Ouvert du mardi au vendredi de 13h à 18h
et le samedi de 14h à 18h
Entrée libre

14 In Culture/ En paroles et en poèmes

Les Anges Maudits de Tourlaville: L’histoire vraie de Julien et Marguerite de Ravalet

J’ai passé mon Bac Littéraire-Théâtre au lycée Millet de Cherbourg, ville jouxtant celle de Tourlaville, en Normandie. Tourlaville qui est aujourd’hui propriétaire d’ un ravissant château. J’ai toujours entendu parlé de l’histoire maudite de ses occupants, mais n’y avait jamais prêté plus attention, jusqu’à ce que je tombe sur un post de Pause-Thé, blogueuse Cherbourgeoise, ayant pour sujet une pièce de théâtre intitulée « Une Nuit chez les Ravalet ». Intriguée, je lis le post et me dis que, pour commencer, j’aimerai beaucoup voir cette pièce, et ensuite, qu’il serait peut être temps pour moi de me renseigner sur cette sombre histoire d’inceste en pays du Cotentin.

Après une petite recherche des ouvrages sur Marguerite et Julien de Ravalet, mon choix s’est porté sur le roman d’Yves Jacob, Les Anges maudits de Tourlaville.
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